1- Jean-Marc Simon (Diplomatie)
Jean-Marc Simon, 60 ans, est l’oreille de la France au Gabon. Il entretient d’excellents rapports avec le président de la République Omar Bongo Ondimba qui le consulte souvent sur des questions diverses. En avril 2003, Jean Marc Simon a remplacé Philippe Selz, en poste depuis cinq ans, à cette fonction aussi sensible que convoitée d’ambassadeur de France à Libreville. Proche de Jacques Chirac, M. Simon fut, de 1993 à 1996, directeur de cabinet des ministres de la Coopération successifs - Michel Roussin, Bernard Debré et Jacques Godfrain. Il est l’un des derniers spécialistes de l’« Afrique du jour et de la nuit », familier de ses réseaux et habitué aux situations parfois délicates. Il présente en somme, toutes les qualités requises pour plaire à Omar Bongo Ondimba- Les deux hommes se connaissaient d’ailleurs bien avant que M. Simon ne prenne ses fonctions d’ambassadeur à Libreville. Ambassadeur en Centrafrique de 1996 à 2001, il fut également en poste au Nigeria, en 2003.
2- Michel Auguste, l’un des doyens des Français du Gabon/ Conseiller à l’Assemblée des Français de l’Etranger
M. Michel Auguste, Conseiller élu pour le Gabon, Sao tomé & Principe, à l’Assemblée des Français de l’Etranger est arrivé à Port-Gentil pour y travailler en 1957. Depuis, il n’a plus quitté la capitale pétrolière du Gabon. Né le 16 octobre 1933 à Puteaux, dans les Hauts de Seine, cet homme qui avait joué un rôle de premier plan lors des évènements de 1990 pendant l’évacuation des Français, est connu de tous et respecté à Port-Gentil. Henri Michel est le fils d’Henri Constant Auguste, un sapeur-pompier, mort en service commandé le 28 Septembre 1934. Il fut décoré à titre posthume de la Médaille d’Or du Dévouement par le Ministère de l’Intérieur et par la Fondation Carnegie de la Médaille " Aux Héros de la Civilisation". En 1954, il a 21 ans, le service militaire l’appelle (classé soutien de famille indispensable pendant cette période) ; en 1955, c’est le départ pour l’Algérie après s’être porté volontaire en remplacement de son camarade désigné et démobilisé en 1957. Après 15 jours passés en France, dans un climat d’hostilité vis-à-vis des militaires rentrant d’Algérie, il quitte l’Hexagone pour le Gabon. De 1957 à 1999 (date de mise à la retraite à l’âge de 65 ans) il est employé à la Société Gabonaise de Mécanique (SGM)), fournisseur de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (S.E.E.G) et de la Marine Gabonaise (cette dernière le décorant de la Médaille des Forces Armées Gabonaises en remerciement des services rendus). Si les ambassadeurs hauts représentants de la France au Gabon défilent depuis les années 60, M. Michel Auguste est incontestablement le représentant régulier de la France au Gabon. Actuellement, il s’occupe des Anciens Combattants du Gabon, grâce à son intervention, il a pu obtenir les cartes d’anciens combattants pour les Gabonais de l’Ogooué Maritime ce qui donne droit à une petite retraite avec effet rétroactif. Délégué de la Fédération des Anciens Combattants hors de France (F.A.C.S), M. Auguste militant activement depuis 1991 pour obtenir auprès des différents Maires successifs de la ville de Paris (Chirac, Tiberi et Delanoë) une rue, une place ou un square au nom du Capitaine gabonais Charles Ntchorere, mort pour la France. Malgré son âge, l’homme est actif et s’investit avec son fils au sein de l’association H2O, dans le domaine du développement durable au Gabon.
3- Serge Findji (Exploration pétrolière)
Administrateur général adjoint des filiales Maurel & Prom au Gabon qui avait signé le 27 septembre 2005 un Contrat d’exploration et de partage de production (CEPP) avec l’Etat gabonais sur le permis Omoueyi qui faisait suite à l’Autorisation exclusive de travail (AET) de M’Bindji. Le pétrole rapporte au Gabon plus de 60% des ressources du pays. Maurel & Prom, dirigée par le français Jean-François Hénin, dispose désormais de moyens substantiels pour développer ses activités au Congo mais aussi au Gabon.
4- Jean Claude Baloche (BTP)
Né en 1940, il est ingénieur des Travaux Publics. Arrivé à Libreville, au Gabon, dans les années 80, il devient en 1982, Président directeur général de l’entreprise SOCOBA-EDTPL (Société de construction de bâtiment -entreprise de dragages et de travaux publics de la Lowé) créée en 1964, l’homme se situe dans le premier cercle des proches du président de la République. Il a présidé la Confédération patronale gabonaise (CPG) de 1996 jusqu’en 2005. Il est à ce jour le 1er vice-président chargé des Relations internationales à la CPG. M. Jean Claude Baloche est membre du Conseil économique et social (CES) depuis 1996. C’est une personnalité incontournable du secteur du bâtiment et des Travaux publics au Gabon. Proche du président Omar Bongo Ondimba, les marchés de l’Etat reviennent à sa société dans la majorité des cas. M. Baloche est membre de l’Union des patronats d’Afrique centrale (UNIPACE) dont il assure la vice-présidence depuis décembre 2001.
5- Christian Kérangall (Services)
Acteur majeur des milieux d’affaires proches de la présidence de la République. 3e vice-président chargé de la Formation, de l’Emploi et du Travail, M. Christian Kerangall est le Président directeur général du groupe SOGAFRIC qui regroupe 6 sociétés leaders dans chacun leur domaine : Sodim TP (vente d’automobiles et pièce détachées), Electra ( meubles et électroménager) ; Sogafric Froid (Froid et climatisation) ; Société gabonaise industrielle (Chaudronnerie, construction navale, mécanique générale). Comme M. Carret le remarque en passant, la société est une filiale de la Compagnie du Komo / Sogafric, le groupe industriel multisectoriel le plus important du Gabon. La Compagnie du Komo, contrôlée par les intérêts français, détient 25 % de la Banque gabonaise et française internationale (BGFIBANK), dont le président du Conseil d’administration, Patrice Otha, est aussi le directeur de cabinet adjoint du président Bongo.
6- Jean Bié (Hydrocarbures)
Directeur général de Total Gabon. M. Jean Bié, géologue et géophysicien de formation, ancien directeur général de la filiale implantée en Hollande, avait été nommé en juillet 2004 directeur général de Total Gabon en remplacement de M. Jacques Marraud des Grottes. Le nouveau patron de Total Gabon a pris le relais d’une compagnie qui se porte bien et qui est le premier opérateur pétrolier du pays. M. Bié est présenté comme un homme doté d’une très longue carrière d’explorateur et de dirigeant d’entreprise et qui apportera son talent reconnu pour développer les ambitions de Total Gabon. Il a dirigé pendant quatre ans la filiale hollandaise du groupe Total et pendant cinq ans l’exploration de la filiale du groupe Total au Nigeria où il a connu de nombreux succès. De 1992 à 1996, il fut directeur général adjoint de Total Congo où ses qualités de manager ont été largement reconnues et appréciées. De retour à Paris pendant deux ans, il fut responsable de l’ensemble de l’exploration du groupe. Jean Bié est actuellement le 4e vice-président de la Confédération patronale gabonaise (CPG) chargé des Ressources naturelles et de l’Environnement.
7- Edouard Valentin (Assurances)
Edouard Valentin fait partie des hommes de confiance du président Omar Bongo Ondimba. M. Valentin est Chargé des Affaires sociales à la Confédération patronale gabonaise (CPG). Il a épousé Flore Bongo, l’une des filles du président Omar Bongo Ondimba et d’Antoinette Diop, une Gabono-Sénégalaise, sœur de Mamadou Diop, secrétaire général de la présidence. Edouard Valentin, le patron des assurances OGAR Vie, est également au coeur du sérail avec son épouse "Evelyne" au secrétariat du président et sa fille "Sylvia" qui a épousé Ali Bongo Ondimba, ministre de la Défense. M. Valentin est Administrateur directeur général de la société Ogar créée en 1976 (Les activités sont les assurances et réassurances, Dommages et responsabilités. Assurances diverses). Il est également Administrateur directeur général de Ogar Vie qui englobe les métiers des assurances en plus de l’assurance vie, Retraite complémentaires, Rentes, crédits banque etc. C’est le monsieur Assurance du Gabon). L’Omnium gabonais d’assurances et de réassurances Vie (OGARVIE), première compagnie d’assurance vie au Gabon, met l’accent sur la consolidation de l’épargne retraite et vante la qualité des offres de produits destinées à sa clientèle. OGARVIE, spécialisée dans les assurances et réassurances toutes branches, est une Société anonyme créée en 1988 à Libreville, Gabon, avec un capital de 300 millions de F CFA.
8 & 9- Paul Bory et Eric Chesnel (Editions & Renseignements)
Deux fidèles du président de la République. Le très discret Paul Bory, PDG de la Société des nouvelles activités de presse (SONAPRESSE) qui édite le quotidien national L’Union, et son ami Eric Chesnel, conseiller personnel du chef de l’Etat Omar Bongo et secrétaire général de l’Association France-Gabon, sont aussi deux fidèles du président. Le départ à la retraite annoncé le 16 octobre 2007 de Paul Bory (77 ans) est un évènement dans la classe politique gabonaise. Il est toujours administrateur général des Editions Gabonaises (EDIG).
10 - Edouard-Marie De Bethencourt (Sécurité / Décédé)
Dans le domaine de la sécurité, Omar Bongo peut compter sur Edouard De Bethencourt, le patron de la Société gabonaise de sécurité (SGS), une officine de Libreville dont la famille Bongo est actionnaire. M. De Béthencourt est très bien vu au Palais du Bord de Mer, qui lui confie les missions les plus sensibles... Edouard-Marie de Béthencourt et sa femme Edwige se sont mariés début septembre 2007 à Cannes. Plus de toute première jeunesse, M. De Bethencourt est apparemment encore vert. Et ses affaires florissantes. Ancien colonel de l’armée, chevalier de la légion d’honneur française, proche de Bob Denard (récemment décédé) et de Robert Maloubier, ex patron de la garde présidentielle gabonaise, Edouard-Marie s’est reconverti dans la sécurité privée au milieu des années 90. Edouard de Bethencourt est à ce jour, l’administrateur - Directeur général de la SGS, créée en 1975 pour répondre aux besoins du secteur privé de prendre en charge une partie de la sécurité. SGS qui est connue par le grand public comme une entreprise de gardiennage, a une large activité allant de la sécurité des personnes et des biens par des gardiens armés ; le transport de fonds et des valeurs ; la centralisation d’alarmes ; la télésurveillance, l’intervention rapide, Gardes de corps, maître chiens, Ambulance etc.
11- Fabrice Bonatti ( Brasserie)
Il est le directeur général de la Société des brasseries du Gabon (SOBRAGA), filiale du groupe Castel. Spécialiste des boissons et d’eau gazeuse, Bonatti a racheté les installations d’Eau de Leconi (Eauleco dans le Sud-est du Gabon) qui produisait de l’eau minérale Andza. Grands consommateurs de bière, les Gabonais ont permis à la SOBRAGA d’augmenter son chiffre d’affaires tous les ans.
12 - Jean Claude Villain (Mines)
Le Président du Conseil d’administration de la Compagnie minière de l’Ogooué (COMILOG), Claude Villain, estime qu’il faille investir davantage. La COMILOG exploite le manganèse au Gabon depuis 1962. Le Gabon est devenu le second producteur mondial de manganèse. 95% du manganèse extrait et destinés aux industries sidérurgiques transitent par le chemin de fer Transgabonais. La COMILOG dont le siège est à Moanda, au sud-est du Gabon, est une filiale du groupe français Eramet. La Comilog dispose d’un capital de 40, 811 milliards de F CFA (40 811 592 500 F CFA) reparti entre le Groupe Eramet (67%), l’Etat gabonais (25%) et autres (8%). La COMILOG affiche ainsi des ambitions claires pour consolider sa position de partenaire privilégié au développement du Gabon. La COMILOG qui joue un rôle de choix dans l’économie gabonaise, fait partie des plus importants producteurs mondiaux de manganèse.
13- Jean- Marc Sansovini ( Aéroport de Libreville)
Jean- marc Sansovini est le nouveau directeur général de l’aéroport de Libreville (ADL). Il remplace à ce poste Pierre André Collet. ADL est une Société anonyme de droit gabonais créée en 1988 avec un capital de 1,53 milliard de francs CFA. Celui-ci a été ensuite porté à 2,72 milliards de francs CFA. Les activités d’ADL sont la gestion de l’Aéroport international Léon Mba de Libreville et notamment celle des mouvements des avions commerciaux.
14- Alain Giresse (Sport)
Le Français Alain Giresse, 53 ans, est l’entraîneur des Panthères du Gabon depuis mars 2007. Alain Giresse, né en Gironde, a occupé le poste de milieu de terrain offensif en équipe de France et a participé à 47 sélections de celle-ci. Avant de venir au Gabon, il fut le sélectionneur de la Géorgie, depuis mars 2004. Sa carrière est passée par les Girondins de Bordeaux (1970-1986), l’Olympique de Marseille (1986-1988). Il occupa le poste de directeur sportif du Toulouse FC de 1993 à 1995. Entraîneur du Toulouse FC de novembre 1995 à juin 1998, puis de janvier 1999 à octobre 2000, on retrouvera Gisesse comme entraîneur du Paris SG de juin 1998 à octobre 1998. Limogé après 8 journées de championnat, il devint ensuite l’entraîneur de FAR Rabat, au Maroc de juillet 2001 à juillet 2003. Le football reste le principal sport pratiqué au Gabon et le seul à avoir une portée internationale. Alain Giresse a fort à faire dans un pays où la politique interfère avec le sport.
15- Général Claude Réglat (Coopération militaire)
Il a pris en août 2007 la tête des Forces françaises au Gabon (FFG) qui ont désormais une vocation régionale au sein de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC). La présence militaire française était habituellement rattachée à l’ancienne dénomination Troupes françaises au Gabon (TFG). Ce changement est intervenu dans le cadre du remaniement du dispositif des bases françaises en Afrique. La coopération militaire franco-gabonaise est régie par les accords de coopération et de défense du 17 août 1960. La mission de coopération militaire et de défense (MCMD) est placée, jusqu’à ce jour, sous les ordres de l’attaché de Défense, Chef de Mission de coopération militaire et de Défense, le Colonel Hugues Guillot. Selon l’ambassade de France au Gabon, l’ensemble des coopérants militaires servant au Gabon a représenté en 2006 vingt trois postes. Il est important de noter que la coopération militaire au Gabon est conduite sous l’autorité de l’Ambassadeur Haut Représentant de la France au Gabon.
16 - Pierre Duro (Conseil)
Pierre Duro est ingénieur-conseil et expert judiciaire agréé près la Cour d’appel de Libreville pour le compte de la société Conseil Réalisation Expertise Gabon (CREG). M. Duro, 59 ans, est arrivé au Gabon en 1972. Ancien conseiller à Elf, il présenté souvent comme un proche de l’ancien Premier Ministre français Edouard Balladur. Son dynamisme, son professionnalisme et sa fidélité qui sont reconnus dans l’hexagone et ailleurs le hissent aujourd’hui dans le cercle très restreint des « méritants » de la République française car il a été retenu dans la promotion du 14 mai 2004 de l’Ordre national du mérite, au titre de la Coopération et du Développement. Il a coordonné la fin des travaux (en retard à la grande fureur du Chef de l’Etat). Du coup, Pierre Duro a été élevé au grade de grand officier dans l’Ordre national de l’étoile équatoriale. Le récipiendaire revient de loin. Réalisé par l’architecte Pierre Fakhoury, le Palais du bord de mer du président gabonais - totalement redécoré a été livré le 15 octobre 2007. D’un coût global de près de 200 milliards F CFA, le palais a déjà été arrosé au champagne à bulles, le 17 août 2007, à l’occasion de la fête de l’Indépendance. L’Etat jette un regard sur la gestion des fonds alloués aux fêtes tournantes du 17 août et Duro avait été désigné par les autorités gabonaises pour réaliser un rapport sur le déroulement financier des fêtes tournantes du 17 août 2003 au Gabon qui ont pris place simultanément dans les villes de Lambaréné et de Mouila. En effet, le budget total alloué à ces deux villes (Mouila et Lambaréné) d’un montant de 50 milliards de F CFA n’a pas été qualitativement utilisé car étrangement certains entrepreneurs avec lesquels les marchés avaient été passés ( dont de nombreux de gré à gré), n’avaient pas achevé leurs travaux ou encore ne les avaient pas réalisé comme convenu dans le cahier des charges. Son cabinet Conseil existe à Libreville depuis près de 20 ans.
17 - Christophe Besacier (Environnement)
Il est le facilitateur du Programme forêt du bassin du Congo (PFBC). Conseiller régional Forêts Environnement auprès du Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France à Libreville, il donne son avis depuis que le Gabon a créé 11 parcs nationaux mais apporte aussi son expertise en matière d’environnement. - Christophe Besacier explique aux Etats de la sous-région, ce qu’est le PFBC et le développement des mécanismes de financement durable pour la conservation des écosystèmes forestiers dans le bassin du Congo. Il a relevé la nécessité urgente qu’il y avait à identifier et budgétiser des actions, afin de permettre le lancement de la recherche de fonds pour la mise en œuvre du plan de convergence.
18 - Pr Philippe Blot
Le Pr Philippe Blot est le directeur du Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF) où les travaux présentés par les chercheurs sont bénéfiques non seulement pour la santé publique, mais également pour l’économie nationale. On savait le Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF) au service de la santé. Depuis, la structure a traduit son ambition de devenir un outil de développement. En collaboration avec d’autres structures et institutions nationales et internationales, le CIRMF a réussi à cerner la prévalence du virus du sida (VIH) dans toutes les contrées du pays. Les travaux des chercheurs permettront d’élaborer des protocoles de surveillance des résistances du VIH à certaines thérapeutiques. Et de cibler les médicaments (molécules dans le jargon scientifique) à prescrire pour bien traiter les malades. Les recherches visent surtout la mise au point d’un vaccin contre le sida. Total Gabon poursuit son soutien, notamment financier, au Centre International de Recherches Médicales de Franceville (CIRMF).
19 - Eric BAULARD(AFD)
Il est comme ses prédécesseurs, l’un des Français le plus courtisé au Gabon. Le directeur du bureau de l’agence à Libreville, est est quelque sorte la pompe à budget du gouvernement gabonais. Les interventions de l’AFD s’inscrivent dans la stratégie du gouvernement définie dans le document de stratégie de croissance et de réduction de la pauvreté (DSCRP). Elles s’inscrivent également dans le Document Cadre de Partenariat (DCP) signé entre la France et le Gabon en octobre 2005, qui fixe les orientations et les secteurs de concentration de la coopération française pour les cinq années 2006 à 2010. Les secteurs retenus sont ceux de la Forêt, l’Environnement, les Infrastructures et l’Education.
FIN/IPG/GJL/2007/2008
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