20 partis politiques ont adhéré le 19 avril à Libreville à la «majorité républicaine pour l’émergence», la nouvelle majorité qui soutient le programme de société du chef de l’Etat, Ali Bongo.
Près d’un an après la dissolution de l’ancienne majorité présidentielle suite au décès du président Omar Bongo, le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) a mis sur pieds une nouvelle majorité, la «majorité républicaine pour l’émergence».
Réunis le 19 avril à Libreville au siège du parti au pouvoir, ce sont 20 partis politiques qui ont affirmé leur ancrage à la «majorité républicaine pour l’émergence» en paraphant la charte régissant cette nouvelle coalition.
Les signataires sont le Centre des Libéraux réformateurs (CLR) de Jean Boniface Assélé ; l’Alliance démocratique et républicaine (ADERE) de l’ancien vice-président de la République Didjob Divungi Di Ndinge ; le Rassemblement du peuple (RDP) ; le Groupe Tchango ; le Groupe IVALA ; Convergence ; Gabon Avenir ; le Mouvement de redressement national (MORENA) originel ; le Mouvement de redressement national (MORENA) nationaliste ; le Rassemblement des républicains (RDR) ; le Parti gabonais du centre indépendant (PGCI) ou encore le Rassemblement pour le Gabon (RPG) du père Paul Mba Abessole, l’UDC ; le FDC ; le CCDG ; le PT ; le PSU ; l’UPN et l’UDIS.
«Cette unité retrouvée résulte de deux facteurs concomitants : la prise de conscience collective et le pardon mutuel (…). Certes nous garderons en mémoire cette période qui a ébranlé l’unité de notre peuple, mais si nous ne l’oublions pas, c’est juste qu’à chaque alerte éventuelle, nous nous dirons : de grâce plus jamais ça !», a déclaré le secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi.
«Nous engageons à remplir les formalités légales et à rester dorénavant soumis à la discipline de l’entité groupante (…). Nous disons solennellement oui à ‘Agir ensemble pour un Avenir en confiance’. Tous, nous nous arrimons à la mise en œuvre de votre projet de société. Vous pouvez compter sur notre totale disponibilité à vous accompagner sur le voie de l’émergence du Gabon», a poursuivi Faustin Boukoubi à l’adresse du chef de l’Etat qui prenait part à l’évènement.
Le chef de l’Etat a déclaré à cette occasion que «les divergences de vue d’hier ne doivent pas donner lieu à des guerres personnelles (…). Car le développement car le notre pays, s’il s’accélère, s’il se réalise plus vite dans un contexte de justice sociale et d’équité, c’est tout le monde qui gagne en récoltant les dividendes».
Cette nouvelle majorité est marquée par le retour de leaders qui étaient restés neutres lors de l’élection présidentielle, comme Didjob Divungi Di Ndinge, ou qui s’étaient opposés au parti au pouvoir, comme le père Mba Abessole, candidat à l’élection qui avait rallié à deux jours du scrutin avec sept autres candidats la coalition des forces pour le changement.
La nouvelle majorité doit donner du poids au PDG pour les élections législatives partielles du 6 juin prochain au cours de laquelle le parti au pouvoir devrait batailler dur s’il veut récupérer les sièges laissés vacants par les barons du parti passés dans l’opposition.
Réunis le 19 avril à Libreville au siège du parti au pouvoir, ce sont 20 partis politiques qui ont affirmé leur ancrage à la «majorité républicaine pour l’émergence» en paraphant la charte régissant cette nouvelle coalition.
Les signataires sont le Centre des Libéraux réformateurs (CLR) de Jean Boniface Assélé ; l’Alliance démocratique et républicaine (ADERE) de l’ancien vice-président de la République Didjob Divungi Di Ndinge ; le Rassemblement du peuple (RDP) ; le Groupe Tchango ; le Groupe IVALA ; Convergence ; Gabon Avenir ; le Mouvement de redressement national (MORENA) originel ; le Mouvement de redressement national (MORENA) nationaliste ; le Rassemblement des républicains (RDR) ; le Parti gabonais du centre indépendant (PGCI) ou encore le Rassemblement pour le Gabon (RPG) du père Paul Mba Abessole, l’UDC ; le FDC ; le CCDG ; le PT ; le PSU ; l’UPN et l’UDIS.
«Cette unité retrouvée résulte de deux facteurs concomitants : la prise de conscience collective et le pardon mutuel (…). Certes nous garderons en mémoire cette période qui a ébranlé l’unité de notre peuple, mais si nous ne l’oublions pas, c’est juste qu’à chaque alerte éventuelle, nous nous dirons : de grâce plus jamais ça !», a déclaré le secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi.
«Nous engageons à remplir les formalités légales et à rester dorénavant soumis à la discipline de l’entité groupante (…). Nous disons solennellement oui à ‘Agir ensemble pour un Avenir en confiance’. Tous, nous nous arrimons à la mise en œuvre de votre projet de société. Vous pouvez compter sur notre totale disponibilité à vous accompagner sur le voie de l’émergence du Gabon», a poursuivi Faustin Boukoubi à l’adresse du chef de l’Etat qui prenait part à l’évènement.
Le chef de l’Etat a déclaré à cette occasion que «les divergences de vue d’hier ne doivent pas donner lieu à des guerres personnelles (…). Car le développement car le notre pays, s’il s’accélère, s’il se réalise plus vite dans un contexte de justice sociale et d’équité, c’est tout le monde qui gagne en récoltant les dividendes».
Cette nouvelle majorité est marquée par le retour de leaders qui étaient restés neutres lors de l’élection présidentielle, comme Didjob Divungi Di Ndinge, ou qui s’étaient opposés au parti au pouvoir, comme le père Mba Abessole, candidat à l’élection qui avait rallié à deux jours du scrutin avec sept autres candidats la coalition des forces pour le changement.
La nouvelle majorité doit donner du poids au PDG pour les élections législatives partielles du 6 juin prochain au cours de laquelle le parti au pouvoir devrait batailler dur s’il veut récupérer les sièges laissés vacants par les barons du parti passés dans l’opposition.
Publié le 20-04-2010 Source : Gaboneco Auteur : Gaboneco
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