En visite sur le chantier du stade Omnisports de Libreville le 11 mars, le ministre des Sports, René Ndemezo’o Obiang, s’est insurgé contre la lenteur des travaux d’extension et de réfection du complexe sportif retenu pour abriter les matchs officiels de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2012.
Après le stade de l’Amitié sino-gabonaise le 9 mars, le ministre des Sports, René Ndemezo’o Obiang, a visité le stade Omnisports de Libreville le 11 mars dernier, où il s’est étonné du faible avancement des travaux lancés en octobre 2009.
«Il y a beaucoup de travail qui reste à faire. Mais nous avons pu voir que l’entreprise Entraco est à pied d’œuvre sur le gigantesque chantier de l’Omnisport. Ce qui nous tient le plus à cœur, c’est la livraison de la pelouse, qui doit être prête dans six mois avant le démarrage de la compétition selon les exigences de la Confédération africaine de football (CAF)», a indiqué René Ndemezo’o Obiang.
«Ce chantier s’effectue sur la base d’un financement extérieur. C’est un financement qui est totalement bouclé et la contrepartie gabonaise a servi au démarrage des travaux à hauteur de 15%. Désormais tous les paiements mensuels s’effectuent grâce au financement extérieur qui permet d’être tout à fait tranquille quant au rythme continu des travaux», a-t-il ajouté.
Selon un ingénieur chargé du suivi des travaux, Michel Guilluy, «500 tonnes de pieux sont attendus à Libreville pour préfabrication de plus de 27 km de gradins».
Si les sondages géotechniques prévoient l’achèvement des travaux en octobre 2011 et la livraison de la pelouse 3 mois plus tôt, sur le terrain la situation inquiète. Et à un an et demi de la CAN 2012 les signes d’une grosse désillusion sur le déroulement de cet évènement au Gabon germent déjà chez les plus sceptiques.
Un sentiment d’autant justifié que les travaux de construction du stade de l’amitié sino-gabonaise par exemple, lancés il y a plus de deux mois et prévus pour une durée de 24 mois, ne devront uniquement leur salut qu’à la capacité des Chinois à honorer leurs engagements.
Selon un ingénieur chargé du suivi des travaux, Michel Guilluy, «500 tonnes de pieux sont attendus à Libreville pour préfabrication de plus de 27 km de gradins».
Si les sondages géotechniques prévoient l’achèvement des travaux en octobre 2011 et la livraison de la pelouse 3 mois plus tôt, sur le terrain la situation inquiète. Et à un an et demi de la CAN 2012 les signes d’une grosse désillusion sur le déroulement de cet évènement au Gabon germent déjà chez les plus sceptiques.
Un sentiment d’autant justifié que les travaux de construction du stade de l’amitié sino-gabonaise par exemple, lancés il y a plus de deux mois et prévus pour une durée de 24 mois, ne devront uniquement leur salut qu’à la capacité des Chinois à honorer leurs engagements.
Publié le 12-03-2010 Source : Gaboneco Auteur : Gaboneco
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